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Logo La Plume Acerbe : questionner, critiquer, provoquer

Personne ne l’a demandé. Pas vous. Pas moi. Pas même ce monde déjà noyé sous un océan de mots inutiles.

Et pourtant, La Plume Acerbe est là.​​ 

Dans une Côte d’Ivoire où les contradictions sautent aux yeux – des projets d’infrastructure colossaux pendant que les gens galèrent dans les transports, des banques qui méprisent les plus modestes tout en courtisant les élites, une jeunesse pleine d’ambitions mais laissée à l’abandon par des systèmes éducatifs dépassés, des salaires qui s’effondrent face à un coût de la vie galopant, et des politiques qui exhibent des richesses que leurs salaires officiels ne justifient pas – il y a un vide.

 

Un vide que je refuse d’ignorer. 

Pourquoi écrire ?

En Côte d’Ivoire, certains silences sont insupportables.

Ces silences masquent des injustices criantes : des jeunes qui survivent grâce aux pourboires dans les supermarchés ; des filles domestiques qui travaillent plus de 10 heures par jour pour un salaire dérisoire ; des élites qui détournent les yeux pendant que les inégalités explosent.

Écrire, pour moi, c’est refuser de faire partie de ce silence complice.

C’est dire ce qui dérange, mettre des mots là où on préfère détourner le regard. Parce que ce qu’on tait finit toujours par devenir acceptable. 

Ce que vous trouverez ici

 

Des chroniques qui prennent leur source dans le quotidien.

Ici, chaque récit débute par une scène familière – un distributeur qui avale vos billets, une attente interminable pour prendre un gbaka – et s’élève en une réflexion mordante sur ce que cela dit de nous, de notre société, et des systèmes qui nous entourent. 

Pas de faux-semblants. Pas de leçons de morale.

Seulement des vérités qu’il est temps d’affronter. 

Pourquoi maintenant ?

Parce que j’en ai marre.

Marre de ces mêmes histoires : des travailleurs exploités, des inégalités criantes, des scandales qu’on passe sous silence. Marre de cette prudence étouffante qui muselle la parole dans les journaux dès qu’on ose toucher à ces vérités dérangeantes.

Ce site, c’est ma façon de dire stop.


De sortir ces idées des murmures discrets et de les projeter à la lumière. Écrire ce que je n’ai pas toujours osé dire, c’est une manière de me libérer, de refuser le poids du silence et de l’inaction. ​

Et maintenant ?

Les dés sont jetés. La Plume Acerbe est lancée.


Si vous êtes prêt(e) à questionner et confronter les absurdités de notre Côte d’Ivoire, alors bienvenue.

Et même si vous hésitez, ne mentez pas : vous savez très bien de quoi je parle. Parce qu’à un moment ou un autre, vous vous reconnaîtrez forcément dans l’un des sujets que j’aborderai.

Ah, et ces mots sont nés d’un regard critique et d’une plume libre. Ils restent à leur place : ici. Libre à vous d’être inspiré, mais pas de les dérober.

Faites entendre votre voix

Une idée, une critique, ou une réflexion à partager ? Écrivez-moi et contribuons à questionner les absurdités de notre quotidien.

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Votre voix a été entendue.
Continuons à écrire là où ça fait mal.
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